Nimodipine 19.10.2012
Prudence en cas d'angor instable ou après un infarctus récent du myocarde

Chez les patients présentant un angor instable ou durant les 4 premières semaines consécutives à un infarctus aigu du myocarde, le médecin doit évaluer les risques potentiels (p.ex. réduction de l’irrigation des artères coronaires et ischémie myocardique) par rapport aux bénéfices (p.ex. amélioration de l’irrigation sanguine cérébrale).